Le chocolat noir est bon pour le cœur

Bonne nouvelle pour les gourmands… La Fédération Française de Cardiologie assure que manger un ou deux morceaux de chocolat noir quotidiennement peut être bon pour le cœur.

Les adeptes le diront « le chocolat, c’est bon pour le cœur !» Mais c’est uniquement grâce à la poudre de cacao, très riche en flavonoïdes (des pigments antioxydants qu’on retrouve dans le vin rouge ou la tomate). Ces derniers diminuent la formation de mauvais cholestérol et de caillots qui bouchent les artères et évitent l’augmentation de la pression artérielle. Attention à ne pas confondre cacao… et chocolat ! Dans le chocolat, il y a bien de la poudre de cacao, mais aussi du beurre de cacao (du gras) et du sucre en quantité non négligeable. Le chocolat noir contient au moins 30 % de poudre de cacao, alors que celui au lait n’en contient environ 20 % et le blanc pas du tout. « Du coup, il est préférable de se faire plaisir avec un ou deux carrés de chocolat noir par jour (soit 10 à 20 g) » prévient le Docteur François Paillard, cardiologue et membre de la Fédération Française de Cardiologie. Choisissez un chocolat noir à 70% de cacao minimum, car c’est la poudre de cacao qui concentre tous les bienfaits du chocolat. Idéalement, essayez de vous tourner progressivement vers du chocolat à 90%.

Le chocolat noir : des effets positifs sur le système cardiovasculaire

Le chocolat noir diminue la pression artérielle.

Le cacao est l’un des aliments les plus riches en flavonols (les antioxydants les plus efficaces des flavonoïdes) qui apportent un effet favorable sur la pression artérielle. Ils exercent des effets bénéfiques sur le cœur (effet anti-inflammatoire, amélioration de la sensibilité à l’insuline, diminution de l’agrégation plaquettaire). Les flavonols du cacao améliorent la vaso-motricité (élasticité des vaisseaux sanguins) en se fixant sur les cellules qui recouvrent les vaisseaux, ce qui déclenche la synthèse d’oxyde nitrique ayant pour propriété d’entraîner la relaxation des cellules et, ainsi, diminuer la pression qui se trouve à l’intérieur des artères. Les études cliniques chez l’homme ont effectivement montré un effet significatif, bien que modeste, sur les chiffres de pression artérielle systolique (cœur au repos) et diastolique (cœur contracté). « Mais tout cela, à condition bien sûr de respecter certaines quantités, soit 50 mg de flavanols de cacao par jour pour 10g de chocolat noir (soit 0.5% flavonols) », rappelle le Dr Paillard.

Le chocolat noir n’augmente pas le cholestérol !

Le cacao est riche en lipides (42% pour le chocolat noir), mais le principal acide gras du cacao est l’acide stéarique (acide gras saturé) qui n’est pas considéré comme hypocholestérolémiant, au contraire des autres saturés. Le chocolat noir riche en cacao peut protéger l’organisme grâce aux flavonols (puissants antioxydants) qui permettent de diminuer la concentration de mauvais cholestérol. La vitamine B3 contenue dans le chocolat noir permet également de réduire l’encrassement des artères.

Le chocolat noir pour lutter contre le stress et les baisses d’énergies !

Le chocolat a un effet anti-fatigue et anti-déprime, car le cacao qu’il contient, est riche en magnésium (100g de chocolat contient 112mg de magnésium). De nombreuses études affirment que le magnésium est un élément majeur contre les effets négatifs du stress, il participe aussi à la diminution de l’apparition du diabète et réduit donc le risque d’un infarctus du myocarde. Un manque de magnésium entraîne également une baisse d’énergie, une sensation d’épuisement, de fatigue chronique et de fatigabilité à l’effort.

Oui au chocolat noir, mais s’il est accompagné d’un mode de vie qui répond au slogan de la FFC : « 0-5-30 »

La consommation du chocolat noir est conseillée comme un petit plaisir : après le repas, pour un petit encas ou perte d’énergie dans la journée… Cependant, la Fédération Française de Cardiologie rappelle l’importance de garder une bonne hygiène de vie au quotidien. L’activité physique de 30 minutes par jour, le « 0 » cigarette, la consommation de 5 fruits et légumes et éviter le stress… sont les clés pour garder un cœur en bonne santé. Plusieurs études ont démontré que les consommateurs réguliers de chocolat noir présentaient une réduction du risque de survenue d’événements cardiovasculaires de type infarctus ou accident vasculaire cérébral. «Plus de raison donc de se priver du chocolat – plaisir, à condition de le consommer avec modération et de tenir compte de l’apport calorique (570 calories pour 100 g !)… pour éviter les kilos superflus » précise le Dr Paillard.

Un test pour faire le point sur son cœur : « Jʼaime mon cœur »

Élaboré par des cardiologues bénévoles, « Jʼaime mon cœur » est un questionnaire en ligne qui permet au grand public de faire le point sur son alimentation, ses pratiques à risques ou encore l’influence du travail et du stress. Cet outil de prévention permet ainsi à l’internaute, en 5mn et avec une quinzaine de questions, de s’auto-évaluer et de tester son risque cardiaque. Une fois le questionnaire terminé, l’internaute a la possibilité de s’inscrire à un programme de coaching et de recevoir des conseils personnalisés de cardiologues pour mieux prendre soin de son cœur au quotidien. Mis en place depuis 2012, « J’aime mon cœur » a déjà permis à plus de 250 000 personnes de s’auto-évaluer et à plus de 60 000 de suivre le programme de coaching.

Tous les renseignements sur www.fedecardio.org

Attention au froid

PRÉVENTION SANTÉ                                           

Les températures chutent, protégez votre cœur.

Le froid affecte l’organisme, en particulier les artères et le cœur. La Fédération Française de Cardiologie vous dit tout et livre ses conseils pour protéger son cœur cet hiver.

Quels sont les effets du froid sur le cœur ?

D’après une étude publiée par le British Medical Journali, chaque réduction de température de 1°C est associée à une élévation de 2% du risque d’infarctus du myocarde dans les 4 semaines qui suivent, les périodes les plus à risque étant les 2 premières semaines.

Chaque hiver, l’organisme doit mobiliser davantage d’énergie pour contrer les effets du froid et maintenir la température du corps. Pour cela, le cœur se met à battre plus rapidement, sa consommation d’oxygène augmente et les vaisseaux se contractent, favorisant la coagulation du sang. Par ailleurs, le froid est aussi une source de déshydratation, ce qui réduit la fluidité du sang et demande plus d’effort au cœur pour fonctionner.

« On parle trop peu de cet impact du froid sur le risque cardiovasculaire, qui reste de ce fait assez mal connu. Le nombre d’accidents cardiovasculaires augmente en hiver et ces derniers sont responsables d’environ la moitié de la surmortalité à cette saison.  En hiver, la moindre activité physique demande un effort important au cœur, si bien que marcher dans le froid équivaudrait à courir un 100 mètres. Les artères coronaires se contractent (spasme), ce qui peut provoquer une rupture des plaques d’athérome (NDLR. Amas graisseux déposés sur leurs parois). Cela peut alors induire un accident aigu par thrombose. », explique le Pr. Claire Mounier-Vehier, cardiologue au CHU de Lille et Présidente de la Fédération Française de Cardiologie.

Les personnes les plus à risque sont les patients souffrant d’une pathologie cardio-cérébro-vasculaire (hypertension artérielle, insuffisance cardiaque, antécédent d’infarctus du myocarde, angine de poitrine, revascularisation coronaire ou artérielle (stent, pontage…), maladie des valves cardiaques…), troubles du rythme cardiaque, accident vasculaire cérébral… ainsi que les personnes de plus de 70 ans, car, en vieillissant, l’organisme s’adapte moins bien aux variations de température. Le danger existe avec des températures négatives, mais aussi avec des variations de températures d’un jour à l’autre, en sachant que le vent décuple la sensation de froid et ses méfaits.

Les bons réflexes pour prendre soin de son cœur cet hiver

La Fédération Française de Cardiologie délivre ses 4 conseils pour aider chacun à protéger son cœur cet hiver :

  • Se couvrir chaudement, en particulier les extrémités et la tête, notamment pour les hommes chauves, qui présentent un risque accru d’accident cardiaque pour éviter les phénomènes vasoconstricteurs.
  • Eviter les efforts brutaux dans le froid sans échauffement préalable pour s’acclimater au froid, comme faire du sport en extérieur ou déneiger sa voiture.
  • Limiter ses activités en cas de pic de pollution associé à des températures froides, car les microparticules et le monoxyde d’azote augmentent le risque d’infarctus.
  • Être attentif au moindre symptôme : sensation d’oppression dans la poitrine, palpitation, essoufflement ou douleur thoracique à l’effort, vertiges, et consulter sans tarder.

Froid + stress + tabac = risque d’accident cardiaque !

Vous avez une réunion stressante au travail… Pour vous détendre, vous sortez fumer une cigarette. Dehors, il gèle… Faites très attention, la conjonction des trois circonstances multiplie très fortement votre risque d’infarctus du myocarde. Le stress entraîne une augmentation de la fréquence cardiaque. Le froid contracte l’artère coronaire. Le tabac accélère également le cœur, tout en intensifiant encore le rétrécissement de l’artère. Sous la convergence des trois facteurs, celle-ci peut se boucher complètement si elle a déjà des plaques d’athérome en formation…

Hypertension artérielle (H.T.A.)

L’ H.T.A. est une maladie fréquente et nous connaissons tous des personnes dans notre entourage atteintes par cette pathologie. Peut-être, nous-mêmes sommes-nous concernés et cela mérite d’en savoir un peu plus sur cette pathologie.

Nous allons essayer de répondre à plusieurs questions :

  1. A quoi correspond la tension artérielle et quelle est la définition de l’hypertension artérielle ?
  2. Comment mesurer notre tension artérielle ?
  3. Quelques chiffres concernant l’H.T.A.
  4. Quels sont les risques de l’H.T.A. ?
  5. Quelles sont les causes de l’H.T.A. ?
  6. Quels sont les symptômes dus à l’H.T.A. ?
  7. Comment traiter l’H.T.A. ?
  1. A quoi correspond la tension artérielle et quelle est la définition de l’hypertension artérielle ?

 La tension artérielle correspond à la pression du sang dans nos artères. Cette pression artérielle varie en fonction du cycle cardiaque : elle augmente au moment de la contraction du cœur (systole) qui chasse le sang dans le réseau artériel, puis baisse au moment où le cœur se remplit (diastole), pour à nouveau augmentée à la systole suivante etc…

  Cette pression du sang dans nos artères (tension artérielle) va dépendre de plusieurs facteurs :

  • De la qualité de la contraction cardiaque, ainsi lors d’un effort, le cœur se contractant avec plus de force, la tension artérielle va augmenter,
  • Du volume du sang dans notre réseau sanguin, ainsi en cas d’hémorragie, la tension artérielle (T.A.) va baisser en proportion de la diminution du volume sanguin (chez l’adulte le volume sanguin est de l’ordre de 5 litres),
  • De la résistance à l’écoulement du sang au niveau de nos artères, et plus particulièrement, au niveau des petites artères (artérioles), ainsi lorsque pour différentes raisons, le calibre de nos artérioles se rétrécit la T.A. va augmenter et, à l’inverse, lors d’une dilatation de ces artérioles, la T.A. va s’abaisser. C’est le cas, par exemple, lors d’un choc allergique où la libération de substances entrainant une brusque dilatation des artérioles va entrainer une baisse plus ou moins importante de la T.A. C’est également le cas lors d’une stimulation excessive du système nerveux parasympathique (vague) qui entraine une dilatation des petites artères pouvant entrainer un malaise vagal.

   Cette pression, exprimée en centimètre de mercure (cm de Hg), doit-être normalement, au repos, chez l’adulte, inférieure ou égale à 14 pour la T.A. systolique et inférieure ou égale à 9 pour la T.A. diastolique. 

   L’hypertension artérielle se définit donc tout simplement chez un adulte, au repos, par une tension artérielle supérieure à ces chiffres.

2.Comment mesurer notre tension artérielle (T.A.) ?

Les appareils utilisés permettent de mesurer la T.A. en comprimant et en décomprimant progressivement l’artère, le plus souvent au niveau du bras (artère humérale).

Cette mesure, sur laquelle on va se baser pour savoir si nous sommes normotendus ou hypertendus, doit s’effectuer au repos physique en position soit assise, soit couchée, mais également au repos psychologique, ce qui est moins simple à obtenir.

 Dès lors, 2 situations peuvent se présenter :

  • Soit la T.A. est égale ou inférieure à 14/9 cm de HG, et c’est parfait ;
  • Soit la T.A. est supérieure à ces chiffres et c’est là où les choses se compliquent un peu car nous avons bien compris que la T.A. est variable selon l’activité, le stress…  Est-ce que cette mesure reflète réellement ma T.A. ? Pour répondre à cette question très importante, car en fonction de cette réponse, nous serons considérés comme normotendus ou hypertendus, avec les conséquences qui en découlent, il faut donc multiplier les mesures de la T.A. et, pour cela, nous avons 2 possibilités :

▪ la règle des neuf qui consiste à prendre sa T.A. 3 jours de suite, à 2 moments de la journée (matin et soir) et à 3 reprises à chaque fois. Nous faisons la moyenne de ces 18 mesures pour avoir la valeur représentative de notre T.A.

▪ la « Mesure Ambulatoire de le Pression Artérielle » M.A.P.A., qui consiste à mettre en place un appareil au niveau du bras qui va automatiquement mesurer la T.A. pendant 24 heures, toutes les demi-heures. Nous aurons ainsi un reflet plus exact des valeurs de notre T.A.

 3.Quelques chiffres concernant l’H.T.A.

  • En France on estime qu’il y a environ 10 millions de personnes hypertendues.
  • Plus on avance en âge, plus on a de risque d’être hypertendu (50% des plus de 65 ans sont hypertendus).
  • Les femmes sont un plus touchées par cette maladie (55% des hypertendus sont des femmes).
  • 50% des patients ayant une H.T.A. ne sont pas diagnostiqués comme tels.
  • 50% des hypertendus diagnostiqués ne sont pas traités.
  • 50% des hypertendus traités le sont insuffisamment, c’est à dire que leur T.A. reste au-dessus des valeurs normales.
  • La majorité des hypertendus sont modérément hypertendus.
  • 46% des hypertendus ont également un excès de cholestérol sanguin.
  • 17% des hypertendus sont également atteints de diabète.
  • 12% des hypertendus sont fumeurs.

4.Quels sont les risques de l’H.T.A. ?

L’H.T.A. est un des facteurs de risque de développement de l’athérosclérose qui encrasse nos artères et qui est responsable essentiellement d’accident vasculaire cérébral, d’infarctus du myocarde, d’artériopathie des membres inférieurs. Les autres facteurs de risque étant la sédentarité, le tabagisme, le diabète, l’excès de cholestérol, l’hérédité, l’âge et le stress.

Par ailleurs cette H.T.A. va retentir sur le fonctionnement du cœur, puisque celui-ci va devoir « pomper » à une pression élevée. Dans un premier temps, le ventricule gauche, qui est la cavité qui éjecte le sang dans les artères, va s’hypertrophier, puis va se dilater entrainant une insuffisance cardiaque ; de même, l’oreillette gauche va se dilater entrainant le risque d’arythmie, en particulier la fibrillation de l’oreillette (fibrillation auriculaire) avec ses conséquences propres. N’oublions pas que notre cœur se contracte environ 70 fois par minute, soit 4 200 fois par heure, soit encore près de 100 000 fois par 24 heures… et on comprend aisément que, s’il doit éjecter le sang à une pression plus forte, il va à plus ou moins long terme se « fatiguer ».

Enfin, l’excès de pression dans les petites artères va abîmer à terme ce réseau et, plus particulièrement, certains organes comme le cerveau, le rein, la rétine.

D’où l’importance de traiter cette H.T.A.

5.Quelles sont les causes de l’H.T.A. ?

   On a vu précédemment que l’H.T.A. est due essentiellement à une résistance anormalement élevée au niveau de l’écoulement du sang au niveau des artérioles. Mais quelle est la cause de cela ?

   Dans 95% des cas, on ne sait pas encore actuellement quelle est la cause de cette augmentation des résistances, on parle alors d’« H.T.A. essentielle». Dès lors, le traitement est purement symptomatique, c’est-à-dire consistant à faire baisser les chiffres de T.A. et nous verrons plus loin comment procéder.

    Dans les 5% des cas restant, l’H.T.A. est due à d’autres pathologies :

  • Maladies rénales,
  • Maladies des glandes surrénales (phéochromocytome, maladie de Conn, maladie de Cushing),
  • Certains médicaments peuvent être en cause comme les oestroprogestatifs,
  • Parfois la grossesse peut se compliquer d’H.T.A. (H.T.A. gravidique),
  • Très rarement, une consommation chronique et excessive de réglisse,
  • Parfois, une anomalie de l’aorte : rétrécissement du calibre de l’aorte après la crosse (coarctation aortique ou sténose de l’isthme de l’aorte).

Dans ces cas-là, le traitement de l’H.T.A. sera lié aux possibilités de traitement de la maladie causale.

6.Quels sont les symptômes dus à l’H.T.A. ?

  Dans la plupart des cas, et surtout quand l’H.T.A. est modérée et débutante, il n’y a aucun symptôme lié à l’H.T.A. C’est pourquoi l’H.T.A. fait partie de ce que l’on appelle les « tueurs silencieux », comme le diabète, l’excès de cholestérol. D’où l’importance du dépistage de ces « tueurs silencieux ».

  Dans quelques cas, l’H.T.A. peut entrainer des symptômes qui ne sont pas spécifiques de l’H.T.A. : céphalées, vertiges, bourdonnements d’oreilles (acouphènes), sensation de « mouches volantes » devant les yeux (phosphènes), épistaxis.

  C’est parfois à l’occasion d’une complication due à l’H.T.A. que cette maladie va être découverte : insuffisance cardiaque, accident vasculaire cérébral, insuffisance rénale, toxémie gravidique.

7.Comment traiter l’H.T.A. ?

 Dans tous les cas, il convient, dans la mesure du possible, d’améliorer notre hygiène de vie, ce qui veut dire avoir une alimentation saine avec plus particulièrement une réduction de notre consommation de sel et avoir une activité physique régulière suffisante.

  Si nous avons d’autres facteurs de risque cardiovasculaire, il convient également de les prendre en compte et, autant que possible, les corriger.

  Lorsque, malgré une correction de notre hygiène de vie, l’H.T.A. persiste, il faudra associer un traitement médicamenteux, en s’assurant de la bonne tolérance et de l’efficacité de ce traitement. Différentes familles de médicaments peuvent être utilisées, parfois si nécessaire en association, et ce, bien entendu, sous le contrôle de votre médecin.

  Ces médicaments dont le but est de normaliser notre T.A. se répartissent actuellement en 6 familles :

  • Les diurétiques.
  • Les Bêtabloquants.
  • Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion.
  • Les inhibiteurs calciques.
  • Les antagonistes des récepteurs à l’angiotensine.
  • Les antihypertenseurs agissant sur le système nerveux central.

Le but étant bien sûr de normaliser les chiffres de la tension artérielle pour éviter les complications liées à cette pathologie.

Docteur Michel VIALLET

Cardiologue